Quatre poèmes de Bouchor

Printemps triste op. 8 no. 3

Tekst: Maurice Bouchor

Nos sentiers aimés s'en vont refleurir
Et mon cœur brisé ne peut pas renaître.
Aussi chaque soir me voit accourir
Et longuement pleurer sous ta fenêtre.

 

Ta fenêtre vide où ne brille plus
Ta tête charmante ett ton doux sourire ;
Et comme je pense à nos jours perdus,
Je me lamente, et je ne sais que dire.

 

Et toujours les fleurs, et toujours le ciel,
Et l'âme des bois dans leur ombre épaisse
Murmurant en choeur un chant éternel
Qui se répond dans l'air chargé d'ivresse !

 

Et la mer qui roule au soleil levant,
Emportant bien loin toutes mes pensées...
Qu'elles aillent donc sur l'aile du vent
Jusques à toi, ces colombes blessées !

 



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Lente van verdriet

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De paden waar we van hielden zullen weer bloeien
en mijn gebroken hart kan niet herboren worden.
Alle avonden zien mij toesnellen
om eindeloos te huilen onder je raam,

 

je verlaten raam, waar je lieve gezicht
en lieve glimlach niet meer stralen.
Als ik denk aan onze verloren dagen,
rouw ik en weet ik niets uit te brengen.

 

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