Trois mélodies

2. Le son du cor s'afflige vers les bois

Tekst: Paul Verlaine

Le son du cor s'afflige vers les bois,
D'une douleur on veut croire orpheline
Qui vient mourir au bas de la colline,
Parmi la [bise]1 errant en courts abois.

L'âme du loup pleure dans cette voix,
Qui monte avec le soleil, qui décline
D'une agonie on veut croire câline,
Et qui ravit et qui navre à la fois.


Pour faire mieux cette plainte assoupie,
La neige tombe à longs traits de charpie
A travers le couchant sanguinolent,

Et l'air a l'air d'être un soupir d'automne,
Tant il fait doux par ce soir monotone,
Où se dorlote un paysage lent.



xx

De hoorn jankt zijn noodroep over het bos

xx

De hoorn jankt zijn noodroep over het bos,
een kreet van verdriet als dat van een wees
en sterft weg aan de voet van de heuvel
waar de noordenwind jammerend rondwaalt.

De ziel van de wolf huilt in die stem
die opstijgt met de dalende zon
[ . . . ]

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