Trois Poèmes de Stéphane Mallarmé

Placet futile

Tekst: Stéphane Mallarmé

Princesse! à jalouser le destin d'une Hébé
Qui point sur cette tasse au baiser de vos lèvres;
J'use mes feux mais n'ai rang discret que d'abbé
Et ne figurerai même nu sur le Sèvres.

Comme je ne suis pas ton bichon embarbé
Ni la pastille ni du rouge, ni jeux mièvres
Et que sur moi je sens ton regard clos tombé
Blonde dont les coiffeurs divins sont des orfèvres!

Nommez-nous... toi de qui tant de ris framboisés
Se joignent en troupeau d'agneaux apprivoisés
Chez tous broutant les voeux et bêlant aux délires,

Nommez-nous... pour qu'Amour ailé d'un éventail
M'y peigne flûte aux doigts endormant ce bercail,
Princesse, nommez-nous berger de vos sourires.

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IJdel verzoek

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Prinses! door het benijden van het lot van een Hebe,
die verschijnt op deze beker bij de kus van je lippen, verbruik ik
al mijn energie, maar mijn bescheiden rang is slechts die van abt
en ik zal zelfs niet naakt verschijnen op het Sévres porselein.

Omdat ik niet uw besnorde schoothondje ben,
of pilletje, of rouge, of schattig speeltje,
en omdat ik de onverschillige blik van uw ogen op mij voel,
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