Klik rechts van de stip in de navigatiebalk hierboven muziek aan / uit

Etudes Latines

Phyllis

Tekst: Charles-Marie-René Leconte de Lisle

Depuis neuf ans et plus dans l’amphore scellé
Mon vin des coteaux d’Albe a lentement mûri;
II faut ceindre d’acanthe et de myrte fleuri,
Phyllis, ta tresse déroulée.


L’anis brûle a l’autel, et d’un pied diligent
Tous viennent couronnés de verveine pieuse;
Et mon humble maison étincelle joyeuse
Aux reflets des coupes d’argent.


Ô Phyllis, c’est le jour de Vénus, et je t’aime!
Entends-moi! Téléphus brûle et soupire ailleurs;
Il t’oublie, et je t’aime, et nos jours les meilleurs
Vont rentrer dans la nuit suprême.


C’est toi qui fleuriras en mes derniers beaux jours:
Je ne changerai plus, voici la saison mûre.
Chante! les vers sont doux quand ta voix les murmure,
Ô belle fin de mes amours!

 


xx

Phyllis

xx

Negen jaar en langer is in de verzegelde amforta
mijn wijn uit de Albeense heuvels langzaam gerijpt;
Laten we nu met acanthus en mirte,
o Phyllis, je losgemaakte haar sieren.


Anijs smeult op het altaar, en op vlugge tred
komt ieder gekroond met goddelijke verbena;
en mijn nederig verblijf schittert vrolijk
in de glans van zilveren bekers.


[ . . . ]

De volledige tekst kunt u per email opvragen.
Klik hier voor de voorwaarden.