Les yeux baissés, rougissante et candide,
Vers leur banquet quand Hébé s’avançait,
Les dieux charmés tendaient leur coupe vide,
Et de nectar I’enfant la remplissait.
Nous tous aussi, quand passe la jeunesse,
Nous lui tendons notre coupe à l’envi.
Quel est le vin qu’y verse la déesse?
Nous l’ignorons, il enivre et ravit.
Ayant souri dans sa grâce immortelle,
Hébé s’éloigne; on la rappelle en vain.
Longtemps encor sur la route éternelle,
Notre œil en pleurs suit l’échanson divin.
Toen Hebe, onschuldig en met neergeslagen blik,
blozend hun feest naderde,
staken de opgetogen goden hun lege bekers uit,
die het kind aanvulde met nectar.
En als de jeugd begint weg te ebben,
wedijveren ook wij in het aanbieden van onze bekers.
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