Quand ton sourire me surprit,
Je sentis frémir tout mon être;
Mais ce qui domptait mon esprit,
Je ne pus d’abord le connaître.
Quand ton regard tomba sur moi,
Je sentis mon âme se fondre;
Mais ce que serait cet émoi,
Je ne pus d’abord en répondre.
Ce qui me vainquit à jamais,
Ce fut un plus douloureux charme
Et je n’ai su que je t’aimais
Qu’en voyant ta première larme!
Toen je glimlach me verraste
voelde ik mijn hele wezen beven,
maar wat mijn geest beteugelde
kon ik eerst niet zeggen.
[ . . . ]
De volledige tekst kunt u per email opvragen.
Klik hier voor de voorwaarden.