Bois chers aux ramiers, pleurez, doux feuillages,
Et toi, source vive, et vous, frais sentiers;
Pleurez, ô bruyères sauvages,
Buissons de houx et d'églantiers.
Printemps, Roi fleuri de la verte année,
Ô jeune Dieu, pleure! Été mùrissant,
Coupe ta tresse couronnée ;
Et pleure, Automne rougissant.
L'angoisse d'aimer brise un coeur fidèle.
Terre et ciel, pleurez! Oh! Que je l'aimais !
Cher pays, ne parle plus d'elle;
Nanny ne reviendra jamais!
Bossen die de houtduiven dierbaar zijn, huil, lief lover,
En jij, levende bron, en jullie, onbetreden paden;
Huil, oh woeste heidevelden,
Hulststruiken en wilde rozen.
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