Psyché! La lampe est morte; éveille-toi. Le jour
te considère avec des yeux noyés d'amour,
et le désir nouveau de te servir encore.
Le miroir, confident de ton visage en pleurs,
reflète, ce matin, lac pur parmi des fleurs.
Un ciel laiteux ainsi qu'une éternelle aurore.
Midi s'approche et danse, ivre sur ses pieds d'or.
Tends-lui les bras, sèche tes pleurs; dans un essor
abandonne, Psyché, la langueur de ta couche.
L'oiseau chant au sommet de l'arbre; le soleil
sourit d'aise en voyant l'universel éveil,
et le Printemps s'étire, une rose à la bouche.
Psyche! De lamp is uit, ontwaak! De dag
aanschouwt je met in liefde verdronken ogen,
en het verlangen je weer van dienst te zijn.
De spiegel, hartsvriend van je betraande gezicht,
weerspiegelt deze morgen een helder meer tussen bloemen,
een melkachtige hemel als een eeuwige dageraad.
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