Si j'étais, ô mon amoureuse,
La brise au souffle parfumé,
Pour frôler ta bouche rieuse,
Je viendrais craintif et charmé.
Si j'étais l'abeille qui vole,
Ou le papillon séducteur,
Tu ne me verrais pas, frivole,
Te quitter pour une autre fleur.
Si j'étais la rose charmante
Que ta main place sur ton coeur,
Si près de toi toute tremblante
Je me fanerais de bonheur.
Mais en vain je cherche à te plaire,
J'ai beau gémir et soupirer.
Je suis homme, et que puis-je faire? -
T'aimer... Te le dire ... Et pleurer!
Als ik, o mijn liefste,
de wind van geurende adem was,
strelend langs je lachende mond,
zou ik timide en betoverd raken.
Als ik de bij was die vliegt,
of de verleidelijke vlinder,
zou je niet zien dat ik je frivool
verliet voor een andere bloem.
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