C'est l'extase langoureuse,
C'est la fatigue amoureuse,
C'est tous les frissons des bois
Parmi l'étreinte des brises,
C'est vers les ramures grises
Le choeur des petites voix.
O le frêle et frais murmure !
Cela gazouille et susurre,
Cela ressemble au bruit doux
Que l'herbe agitée expire...
Tu dirais, sous l'eau qui vire,
Le roulis sourd des cailloux.
Cette âme qui se lamente
Et cette plainte dormante
C'est la nôtre, n'est-ce pas ?
La mienne, dis, et la tienne,
Dont s'exhale l'humble antienne
Par ce tiède soir, tout bas ?
Het is extatisch verlangen,
Het is vermoeidheid door liefde,
Het is al het beven in het bos
Door de omhelzing van de wind.
In de grijze takken hoor je
Het koor van stille stemmen.
O het delicate en frisse murmelen!
Het babbelt en fluistert,
Het lijkt op de zachte schreeuw
Die het bewegende gras uitademt...
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