Comme tout meurt vite, la rose
Déclose,
Et les frais manteaux diaprés
Des prés;
Les longs soupirs, les bienaimées,
Fumées!
On voit dans ce monde léger
Changer,
Plus vite que les flots des grèves,
Nos rêves,
Plus vite que le givre en fleurs,
Nos coeurs!
À vous l'on se croyait fidèle,
Cruelle,
Mais hélas! les plus longs amours
Sont courts!
Et je dis en quittant vos charmes,
Sans larmes,
Presqu'au moment de mon aveu,
Adieu!
Alles sterft zo snel; de roos
die bloeit,
en de veelkleurige mantel
van de weilanden;
diepe zuchten, teerbeminden,
sliertjes rook!
We zien in deze luchtige wereld
alles veranderen,
sneller dan de golven op de kust
onze dromen,
sneller dan de rijp op de bloesems
onze harten!
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