Ô blanche Tyndaris, les Dieux me sont amis :
Ils aiment les Muses Latines;
Et l'aneth et le myrte et le thym des collines
Croissent aux prés qu'ils m'ont soumis.
Viens ; mes ramiers chéris, aux voluptés plaintives,
Ici se plaisent à gémir ;
Et sous l'épais feuillage il est doux de dormir
Au bruit des sources fugitives.
O blanke Tyndaris, de goden zijn me goed gezind:
zij houden van de Latijnse Muzen;
en dille en mirte en tijm van de heuvels
groeien in de weiden die ze me hebben gegeven.
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