Je nommerai ton front
J'en ferai un bûcher au sommet de tes sanglots
Je nommerai reflet la douleur qui te déchire
Comme une épée dans un rideau de soie
Je t'abattrai jardin secret
Plein de pavots et d'eau précieuse
Je te ligoterai de mon fouet
Tu n'avais dans ton cœur que lueurs souterraines
Tu n'auras plus dans tes prunelles que du sang
Je nommerai ta bouche et tes mains les dernières
Ta bouche écho détruit tes mains monnaie de plomb
Je briserai les clés rouillés qu'elles commandent
Si je dois m'apaiser profondément un jour
Si je dois oublier que je n'ai pas su vaincre
Qu'au moins tu aies connu la grandeur de ma haine.
Ik zal je voorhoofd noemen
Ik zal er een brandstapel van maken op het toppunt van je snikken
Ik zal bezinning het verdriet noemen dat je splijt
als een zwaard een zijden gordijn
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