Sois sage, ô ma Douleur, et tiens-toi plus tranquille;
Tu réclamais le Soir: il descend, le voici:
Une atmosphère obscure enveloppe la ville,
Aux uns portant la paix, aux autres le souci.
Pendant que des mortels la multitude vile,
Sous le fouet du Plaisir, ce bourreau sans merci,
Va cueillir des remords dans la fête servile,
Ma Douleur, donne-moi la main; viens par ici,
Loin d'eux. Vois se pencher les défuntes Années,
Sur les balcons du ciel, en robes surannées.
Surgir du fond des eaux le Regret souriant;
Le Soleil moribond s'endormir sous une arche;
Et, comme un long linceul traînant à l'Orient,
Entends, ma chère, entends la douce Nuit qui marche.
Gedraag jezelf, o mijn Smart, en bedaar.
Je hebt om de avond gevraagd – die valt nu, die is hier.
Een sfeer van duisternis omhult de stad,
brengt de een vrede, de ander zorgen.
Nu de verachtelijke menigte stervelingen,
voortgedreven door genot, die genadeloze kwelgeest,
[ . . . ]
De volledige tekst kunt u per email opvragen.
Klik hier voor de voorwaarden.