La nuit a des douceurs de femme,
Et les vieux arbres, sous la lune d'or,
Songent! A Celle qui vient de passer,
La tête emperlée,
Maintenant navrée, à jamais navrée,
Ils n'ont pas su lui faire signe...
Toutes! Elles ont passé:
Les Frêles, les Folles,
Semant leur rire au gazon grêle,
Aux brises frôleuses
la caresse charmeuse des hanches fleurissantes.
Hélas! de tout ceci, plus rien qu'un blanc frisson...
Les vieux arbres sous la lune d'or
Pleurent leurs belles feuilles d'or!
Nul ne leur dédiera
Plus la fierté des casques d'or,
Maintenant ternis, à jamais ternis:
Les chevaliers sont morts
Sur le chemin du Grâal!
La nuit a des douceurs de femme,
Des mains semblent frôler les âmes,
Mains si folles, si frêles,
Au temps où les épées chantaient pour Elles!
D'étranges soupirs s'élèvent sous les arbres:
Mon âme c'est du rêve ancien qui t'étreint!
De nacht heeft de zachtheid van een vrouw
en de oude bomen onder de gouden maan
dromen! Over degene die net voorbij ging,
haar hoofd gekroond met parels,
nu en voor altijd ontdaan...
Ze hebben haar geen teken kunnen geven...
Iedereen! Iedereen is voorbij gegaan:
de zwakken, de dwazen,
ze hebben hun gelach op het spaarzame gras gestrooid
de wind frotteert
wiegende heupen met steelse strelingen.
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