Le long du bois couvert de givre, je marchais;
Mes cheveux devant ma bouche
Se fleurissaient de petits glaçons,
Et mes sandales étaient lourdes
De neige fangeuse et tassée.
Il me dit: "Que cherches-tu?"
Je suis la trace du satyre.
Ses petits pas fourchus alternent
Comme des trous dans un manteau blanc.
Il me dit: "Les satyres sont morts.
"Les satyres et les nymphes aussi.
Depuis trente ans, il n'a pas fait un hiver aussi terrible.
La trace que tu vois est celle d'un bouc.
Mais restons ici, où est leur tombeau."
Et avec le fer de sa houe il cassa la glace
De la source ou jadis riaient les naïades.
Il prenait de grands morceaux froids,
Et les soulevant vers le ciel pâle,
Il regardait au travers.
Ik liep langs het rijp bedekte bos;
op het haar voor mijn mond
groeiden ijskristallen,
zwaar waren mijn schoenen
van de plakkerig aangekoekte sneeuw.
Hij vroeg me: "Wat zoek je hier?"
Ik volg het spoor van de saters.
Zijn kleine gevorkte hoefsporen stonden in rij,
alsof er gaten in een witte mantel zaten.
Hij zei: "de saters zijn dood.
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